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Olivier Gérard

  • Paul Sunderland rend hommage au roman d'Olivier Gérard sur Unidivers

    couv GERARD.jpgRoman contemporain chargé de violence, Sanglots la nuit d’Olivier Gérard narre le télescopage désespéré de deux êtres dont les biographies respectives entrent en conflit avec ce qui semble être les déterminismes de l’Histoire avec un grand H. De Perpignan à Istanbul en passant par Israël, exploration du cœur d’une relation homosexuelle.

     

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  • L'écrivain Christian de Moliner a lu "Sanglots la nuit"

    couv GERARD.jpgSanglots la nuit d’Olivier Gérard aux éditions ED2A 21 €

    Le roman d’Olivier Gérard frappe comme un coup de poing. Au-delà de l’histoire de deux hommes mariés et pères qui découvrent dans les bras l’un de l’autre, leur homosexualité, il décrit un monde sombre où l’espoir est faible, mais persistant. D’abord, l’auteur décrit le quartier déshérité de Perpignan où gitans et Arabes se font face, où la drogue fait des ravages parmi les habitants, où les habitants fuient dès qu’ils le peuvent. Il enchaîne avec une peinture au vitriol d’une colonie Israélienne extrémiste qui cherche à expulser ses voisins palestiniens. Abram, qui est catholique, a hérité de son prénom en hommage au prophète si soumis à Dieu (Est-ce un rappel à l’islam ?). Peintre de talent, mais qui n’est pas reconnu, il est accusé de détournement de mineure et a obtenu un poste dans un centre d’aide aux drogués grâce à la protection ambiguë d’un commissaire de police. Il recueille et soigne un blessé mystérieux Asso. Il apprendra que ce dernier marié à une juive est accusé d’avoir commis un attentat sanglant dans une oasis israélienne. Mais ce dernier n’est-il pas manipulé par les palestiniens ? Les deux hommes se perdent de vue. Vont-ils se retrouver ?

    Le style de l’auteur est efficace. Les phrases sont courtes et descriptives. On sent que l’écrivain est issu du monde du cinéma, car les séquences ressemblent à des scènes de films. Il arrive à maintenir le suspense jusqu’au bout.

    Le reproche principal qu’on peut faire à Olivier Gérard est la convention des situations qui parfois font grimacer : un « Arabe» de Perpignan est un voleur de bicyclette, les commerçants sont racistes, le héros est un peintre de génie, sa compagne une styliste de haut vol, le commissaire n’est pas clair et sa femme, qui ne sait faire ni le ménage ni la cuisine en pince pour le héros et provoquera la fuite d’Asso. Ce dernier parle peu et ne donne qu’un mot à interpréter à son amant pour lui permettre de le retrouver. Quant aux colons israéliens, ils frisent la carricature. Rien ne nous est épargné et la nuance n’existe pas dans ce roman. Mais ces maladresses sont peut-être voulues. Elles sont, à mon avis, une forme d’ironie dont le but est de renverser et de démantibuler le schéma narratif.  Si tel était son but, il a parfaitement réussi !

  • "Sanglots la nuit" est un "GRAND ROMAN" pour Wukaki

    couv GERARD.jpgSanglots la nuit d’Olivier Gérard, quelque chose de Dabit ou Mc Orlan

     Une force d’écriture, un style incisif et rude, un regard lumineux et sans concession

    An impressive style, an implacable story, a harsh look on our society

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  • "Sanglots la nuit", Deux hommes s'aiment en butte aux fanatismes

    couv GERARD.jpgNouveauté hiver 2017 

    Après le succès de Te retourne pas, Handala !

    préfacé par Jean-Claude Carrière,

    Sanglots la nuit

    Le nouveau roman d’Olivier GERARD

    Attachée de presse : guilaine_depis@yahoo.com 06 84 36 31 85

    Le livre : « Sanglots la nuit » peut aussi bien être lu seul que dans le prolongement du précédent roman d’Olivier GERARD « Te retourne pas, Handala ! » que Jean-Claude Carrière qualifie de « livre ardent ».

    S’il s’agit d’une histoire d’amour entre deux hommes à laquelle le drame du Moyen-Orient sert de décor, l’auteur aborde une nouvelle fois un sujet épineux avec sa plume incandescente, à la brutalité subtile, à la violence délicate. Du vif-argent dans les veines, Olivier GERARD a une écriture aussi rapide que précise qui pulvérise les clichés, les tabous et le politiquement correct.

    Courageuse et toute en nerfs, son œuvre allie la spontanéité des plus grands stylistes à la maturité des écrivains portraitistes de leur époque.

    Témoin de situations aberrantes qui éveillent et indignent sa conscience politique et humaine, son cœur tressaille face aux injustices.

    Mais la richesse de ce livre qui se lit comme on regarde un film - n’oublions pas que l’auteur est d’abord connu comme cinéaste - tient dans le travail considérable qu’il effectue sur la langue pour être toujours au plus vrai de ses personnages, qui sont spécialement attachants. Un roman étonnamment tendre et proche de nous.

     

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