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l'Atelier des Cahiers

  • "Séoul, visages d’une ville", un journal-vidéo de Gina Kim (éditions l'Atelier des Cahiers)

    couv Gina Kim.pngLe journal-vidéo d’une cinéaste coréenne dans Séoul - un essai magistral sur l’art, la ville et la mémoire.

    Gina Kim est une vidéaste, cinéaste et enseignante coréenne installée aux États-Unis. Les cinq longs métrages de Gina Kim ont été sélectionnés dans plus de 80 prestigieux festivals et événements cinématographiques partout dans le monde, y compris Berlin, Venise, Sundance, Locarno, San Sebastian et Rotterdam, et ses œuvres d’art vidéo ont été projetées dans diverses institutions artistiques telles que le Centre Pompidou, le MOMA, le Smithsonian et le Lincoln Center. Elle est actuellement professeur adjoint à l’université de Californie à Los Angeles.

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  • Rencontre avec Elisa Haberer et Simon Hatab à la Terrasse de Gutenberg

    Venez nombreux, la rencontre vendredi 13 octobre à partir de 17h sera suivie d'un verre de l'amitié.

    contact presse : balustrade2017@yahoo.com / 06 84 36 31 85

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  • C'est l'histoire d'une jeune femme d'origine coréenne...

    couv tumuli1.jpgC'est l'histoire d'une jeune femme d'origine coréenne adoptée en France et qui retrouve son lieu de naissance. L'histoire se passe en Corée. Comme elle est photographe, c'est d'abord un travail photographique.

    Ensuite, elle a mené en parallèle des entretiens avec le dramaturge de l'Opéra de Paris Simon Hatab. Il y a donc également tout un travail d'écriture sur le questionnement des origines. 

     

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  • Note d'intention de la photographe Elisa Haberer

    18402881_304478329966296_1955355994418478524_n.jpgÉlisa Haberer est une photographe française d’origine coréenne de 39 ans. Etudiante en photographie, elle dédie son travail aux codes de représentation de la photographie de famille et pose la question de la trace et de la narration par l’image. Ces interrogations préfigurent les thématiques constituantes de son travail actuel. Sa photographie est fondamen- talement axée sur les histoires humaines et l’exercice du portrait. En 2009, sa série sur la représentation de soi “Moi, par l’Au- tre” est exposée à Pékin où elle a vécu 7 ans. En 2013, elle tourne son premier film, “My Lucky Bird”. En 2014, de retour en Corée du Sud, elle réalise un projet pho- tographique sur les traces de ses origines qui devient “Les Couleurs des tumuli”. www.elisahaberer.com

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  • Un récit photographique entre Paris et Gyeongju (éditions l'Atelier des Cahiers)

    couv tumuli1.jpgQuatrième de couverture :

    Une photographe d'origine coréenne revient dans la ville où elle est née, à la découverte de ses habitants et de ses quartiers. Un récit à deux voix à mi-chemin entre le carnet de voyage et le journal de création où l'expérience du proche et du lointain nourrit une réflexion sur notre rapport au temps et la construction de notre identité.

  • Parution de "Les Couleurs des tumuli" aux éditions l'Atelier des Cahiers

    couv tumuli1.jpgLes Couleurs des tumuli est un livre qui fait cohabiter deux récits – l’un photographique, l’autre textuel – qui se déroulent entre Paris et Gyeongju en Corée du Sud. La photographe Élisa Haberer est née à Gyeongju puis a été adoptée en France dès ses premiers mois. En 2014 elle y retourne pour la première fois. Partant de l’endroit où elle est née – l’ancienne maison d’une sage-femme transformée en magasin d’ustensiles de cuisine - elle décide d’explorer et de photographier Gyeongju. A partir d’un lieu qui lui est à la fois proche et étranger, elle part à la rencontre d’un quartier, d’une ville et de ses habitants.

    Au retour de son premier voyage en septembre 2014, elle débute une série d’entretiens sur ce projet avec Simon Hatab, dramaturge et auteur. Ce dialogue qui s’étend sur deux ans forme la matière d’un récit à mi-chemin entre le biogra- phique, le carnet de voyage et le journal de créa- tion. Au-delà de la quête mémorielle, il développe une réflexion sur l’art photographique, sur notre rapport au temps et sur la construction de notre identité.

     

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