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RENTREE LITTERAIRE : le recueil de poésie "L'OMBRE DE LA TERRE" de Christine FIZSCHER

couv fizscher.pngRentrée littéraire 2018

Parution en avant-première pour

le Marché de la Poésie

L’OMBRE DE LA TERRE

le premier recueil de poésie de l’écrivain Christine FIZSCHER

54 pages * 15€ * ISBN 978-2-84791-192-3

Contact presse : 06 84 36 31 85

guilaine_depis@yahoo.com

L’OMBRE DE LA TERRE est enrichi de photographies de Jonathan ABBOU.

Christine FIZSCHER a aussi publié :

Pluies d’été (sous le nom de Christine Guinard), Dumerchez, 1999

La Nuit prend son temps, Le Seuil, 2007, dont sont tirés deux des poèmes de L’OMBRE DE LA TERRE

La Dernière femme de sa vie, Stock, 2011

Les éditions Bernard Dumerchez : Diffusées par les Belles Lettres, elles ont publié à ce jour plus de 250 ouvrages de poésie, littérature, théâtre et autres. Attachant une attention toute particulière à l'objet livre, chaque publication est souvent associée à un artiste contemporain et déclinée par un ouvrage de bibliophilie. Une exposition « Bernard Dumerchez, éditeur, une vie de livres et d'art » a lieu en 2018 au musée départemental de l’Oise pour ses 35 ans d'édition.

fizscher photo.pngUne FEMME poète : Lectrice chez Gallimard, Flammarion, Julliard et aux côtés d’Ivan Nabokov pour « Feux croisés » chez Plon, Christine FIZSCHER a aussi collaboré à la revue « Les Temps modernes » de 2000 à 2009.

Assumant pleinement et jusqu’au bout sa féminité, elle s’étonne que la poésie, quintessence de l’expression verbale, compte si peu de représentantes lues et honorées par le passé et dans la France contemporaine : si la poésie est l’art synthétique de transmettre l’universel et l’intemporel, les femmes passant pour extérioriser davantage leurs émotions, devraient en être les fers de lance. Métaphysiquement inquiète jusqu’à la torture, la chair et la littérature l’ancrent au monde et justifient sa vie.

Nourris de mélancolie, ses poèmes intimes pris dans une narration s’inscrivent dans une temporalité, expriment un double amour et le deuil d’une maison et de ce qui n’a pas pu y être vécu.

Ces poèmes vont basculer au rythme des saisons : solaires et radieux pendant la splendeur de l’été, ils vont s’enfoncer dans l’ombre de la Terre lorsqu’arrive l’hiver. Cette ombre de la Terre qui isole les artistes et enfants de Saturne, les fait rester à l’extérieur de la vie – plus vivants peut-être encore.

cheng.pngA gauche, Lettre de François CHENG, de l’Académie française, reçue par Christine FIZSCHER en réponse à l’envoi de « L’OMBRE DE LA TERRE » :

« La nuit prend son temps (roman dont la rédaction fut concomitante aux poèmes de L’OMBRE DE LA TERRE »)fournit des réponses à une question centrale. Christine FIZSCHER fouille son désir, et l’illusion de son désir, dans un texte sûr, parfois puissamment érotique et superbement écrit. » Vincent ROY, Le Monde des Livres (2007)

« Christine Fizscher (…) a su trouver les mots pour l’écrire (ndlr : ce qui n’est plus, ce qui a brûlé), et le sens du récit. » Mohammed Aïssaoui, Le Figaro Littéraire (2011)

« Christine Fizscher possède une très belle plume » (Nils C. Ahl, Le Monde des Livres, 2011)

« Christine Fizscher signe sa présence d’incontestable écrivain » Joël Schmidt, Réforme, 2011)

« Le livre de Christine Fizscher est saisissant, il a ses défauts, plein, mais un souffle qui les emporte, loin, dans un monde que les anxieux connaissent : la douceur d’écrire, la fragilité du résultat. »  Christophe Donner, Le Monde Magazine (2011)

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